null

The Canadian fleet perspective on auto tariffs

Strategic Advisory Services team
23 Apr 20258 min read

Managing fleets in Canada recently got a little more complicated. On April 9, 2025, Canada introduced a 25% tariff on certain U.S.-made vehicles. If you're left wondering exactly how these tariffs will impact the various aspects of fleet management and total cost of ownership (TCO), you’re not alone. This post will cover the latest developments and explore practical strategies to help Canadian fleet leaders navigate these changes and stay ahead of the game.

What is the latest development with auto tariffs?

Canada implemented 25% tariffs on U.S.-made vehicles that don’t meet Canada-United States-Mexico Agreement (CUSMA) rules and those with non-Canadian or non-Mexican content. According to Canada’s Department of Finance, it’s a direct response to U.S. tariffs on Canadian goods.  

It's important to keep in mind that while parts are exempt for now, these tariffs are set to shake up the costs of American-made vehicles entering Canada. So, if your fleet leans heavily on U.S. vehicles, now’s the time to start planning for the future.

How does it impact fleet management?

The immediate effects of the auto tariffs on fleet operations revolve around cost and availability. While it’s unclear exactly how much of the tariff cost will be passed on to consumers, it’s likely that at least a portion will be added to the price of imported vehicles. This means higher purchase prices, which could make fleet management more costly overall and increase TCO in the long term. 

The impact doesn’t stop at the initial purchase price. Tariffs will ripple through various cost buckets, influencing the total cost of ownership for fleet operators. Leasing costs will climb with purchase prices, while maintenance and repair expenses may increase for vehicles containing U.S.-made parts. Other indirect costs, like resale values and fuel, could also be affected. Savvy fleet leaders will need a clear strategy to stay ahead of potential cost increases. 

Also, vehicles sourced from the U.S. may face shortages. Tariffs often trigger supply chain disruptions, and original equipment manufacturers (OEMs) may shift strategies in response, which could temporarily reduce certain models' availability.

Supply chain considerations

North America’s automotive supply chain is so tightly interconnected that these tariffs are sure to cause some challenges. While parts are temporarily exempt, nobody can say for certain how long this exemption will be in place.  

The Ford F-150, for example, isn’t made in Canada but is very popular with many Canadian fleets. Higher tariffs could easily mean higher costs for vehicles like this, which are staples for lots of businesses. Keep an eye on OEM price protections and get those orders in before any big changes happen.  

For fleet managers, staying nimble is the name of the game. Keep close tabs on production timelines, work hand-in-hand with OEMs, and plan ahead for potential bottlenecks. It’ll make a world of difference in managing the ups and downs of supply chain challenges. 

Auto tariff response strategies

When the road ahead gets bumpy, a strategic approach can help fleet operators avoid huge setbacks. Here’s how fleet managers in Canada can tackle these auto tariff-related challenges head-on and keep things running smoothly without breaking the bank. 

  1. Prioritize domestically built vehicles  

  2. Diversify supplier relationships  

  3. Lock in price protections  

  4. Focus on fleet optimization  

Long-term implications on fleet management

These tariffs aren’t a one-time disruption; they point toward growing economic tensions and evolving rules that fleet leaders must account for in their long-term strategies.  

Over time, tariffs might encourage Canadian fleet operators to adopt procurement strategies centered around increasing the use of domestic models or vehicles with high Canadian or Mexican content. This, in turn, could foster stronger relationships with local suppliers and manufacturers, creating a more secure procurement pipeline.  

Ultimately, fleet operators will need to evaluate their vehicle selection process, integrate flexibility into their supply chain plans, and adapt procurement strategies to avoid being blindsided by long-term cost increases or availability issues.

Staying informed is key to navigating auto tariffs

Navigating the 2025 tariffs will undoubtedly challenge Canadian fleet operators, but staying informed is your first line of defense. Canadian fleet leaders should keep a close watch on updates from the Government of Canada regarding tariff policies and potential countermeasures.  

Also, be sure to take advantage of resources like Element’s operation alert and response center, regularly check industry news, and sign up for alerts from organizations that monitor supply chain impacts. By staying ahead of developments, fleet managers can adapt their strategies promptly, reducing fallout from sudden changes. For any specific questions, please reach out to Element’s team of trusted experts.

Le point de vue du parc automobile canadien sur les droits de douane automobiles

La gestion des parcs de véhicules au Canada est récemment devenue un peu plus compliquée. Le 9 avril 2025, le Canada a imposé des droits de douane de 25 % sur certains véhicules fabriqués aux États-Unis. Si vous vous interrogez sur l’incidence de ces droits de douane sur les différents aspects de la gestion du parc de véhicules et du coût total de possession (CTP), vous n’êtes pas le seul. Cette publication portera sur les derniers développements et explorera des stratégies pratiques pour aider les gestionnaires de parcs de véhicules canadiens à composer avec ces changements et à garder une longueur d’avance.

Quels sont les derniers développements en ce qui concerne les droits de douane sur les automobiles?

Le Canada a imposé des droits de douane de 25 % sur les véhicules fabriqués aux États-Unis qui ne respectent pas les règles de l’Accord Canada–États-Unis–Mexique (ACEUM) ou qui contiennent des pièces d’origine non canadienne ou non mexicaine. Selon le ministère des Finances du Canada, il s’agit d’une réponse directe aux droits de douane imposés par les États-Unis sur les produits canadiens.

Il est important de garder à l’esprit que, bien que les pièces soient exemptées pour l’instant, ces droits de douane ont pour effet de perturber les coûts des véhicules fabriqués aux États-Unis qui entrent au Canada. Donc, si votre parc de véhicules repose en grande partie sur des véhicules américains, il est temps de commencer à réfléchir à l’avenir.

Quelle incidence cela a-t-il sur la gestion du parc de véhicules?

Les effets immédiats des droits de douane sur l’exploitation des parcs de véhicules concernent principalement le coût et la disponibilité. Bien qu’il soit difficile de déterminer quelle portion du coût des droits de douane se répercutera sur les consommateurs, il est probable qu’au moins une partie soit ajoutée au prix des véhicules importés. Cela signifie des prix d’achat plus élevés, ce qui pourrait rendre la gestion du parc de véhicules plus coûteuse dans l’ensemble et augmenter le CTP à long terme.

Les répercussions ne s’arrêtent pas au prix d’achat initial. Les droits de douane se répercuteront sur diverses catégories de coûts, influençant ainsi le coût total de possession pour les gestionnaires de parcs de véhicules. Les coûts de location augmenteront avec les prix d’achat, tandis que les frais d’entretien et de réparation pourraient augmenter pour les véhicules contenant des pièces fabriquées aux États-Unis. D’autres coûts indirects, comme la valeur de revente et le carburant, pourraient également être touchés. Les gestionnaires avisés de parcs de véhicules devront adopter une stratégie claire pour anticiper les éventuelles hausses de coûts.

De plus, les véhicules en provenance des États-Unis pourraient faire face à des pénuries. Les droits de douane entraînent souvent des perturbations de la chaîne d’approvisionnement, et les fabricants d’équipement d’origine (FEO) peuvent modifier leurs stratégies en conséquence, ce qui pourrait réduire temporairement la disponibilité de certains modèles.

Considérations relatives à la chaîne d’approvisionnement

La chaîne d’approvisionnement automobile de l’Amérique du Nord est si étroitement interconnectée que ces droits de douane entraîneront inévitablement certaines difficultés. Bien que les pièces soient temporairement exemptées, personne ne peut dire avec certitude pendant combien de temps cette exemption restera en vigueur.

Le Ford F-150, par exemple, n’est pas fabriqué au Canada, mais il est très populaire auprès de nombreuses flottes canadiennes. Des droits de douane plus élevés pourraient facilement se traduire par des coûts plus élevés pour des véhicules comme celui-ci, qui sont essentiels pour beaucoup d’entreprises. Surveillez les mesures de protection des prix des FEO et passez vos commandes avant que d’importants changements ne surviennent.

Pour les gestionnaires de parcs de parc de véhicules, l’essentiel est de rester agile. Surveillez de près les échéanciers de production, travaillez main dans la main avec les FEO et planifiez en prévision d’éventuels goulots d’étranglement. Cela changera toute la donne dans la gestion des hauts et des bas de la chaîne d’approvisionnement.

Stratégies de réponse aux droits de douane pour le secteur automobile

Lorsque des obstacles se présentent, une stratégie bien pensée permet aux gestionnaires de parcs de véhicules d’éviter de grands revers. Voici comment les gestionnaires de parcs de véhicules au Canada peuvent s’attaquer de front à ces défis liés aux droits de douane sur les automobiles et assurer le bon fonctionnement de leurs opérations sans briser la banque.

  1. Prioriser les véhicules construits au pays

  2. Diversifier les relations avec les fournisseurs

  3. Garantir la protection des prix

  4. Accent sur l’optimisation des parcs de véhicules

Répercussions à long terme sur la gestion du parc de véhicules

Ces droits de douane ne sont pas une perturbation ponctuelle; ils indiquent des tensions économiques croissantes et l’évolution des règles dont les gestionnaires de parcs de véhicules doivent tenir compte dans leurs stratégies à long terme.

Avec le temps, les droits de douane pourraient encourager les gestionnaires de parcs de véhicules canadiens à adopter des stratégies d’approvisionnement axées sur l’augmentation de l’utilisation de modèles nationaux ou de véhicules à fort contenu canadien ou mexicain. Cela pourrait, à son tour, renforcer les relations avec les fournisseurs et les fabricants locaux, créant ainsi une filière d’approvisionnement plus sûre.

En fin de compte, les gestionnaires de parcs de véhicules devront évaluer leur processus de sélection du véhicule, intégrer de la souplesse à leurs plans de chaîne d’approvisionnement et adapter leurs stratégies d’approvisionnement pour éviter d’être pris au dépourvu par des augmentations de coûts à long terme ou des problèmes de disponibilité.

Il est essentiel de se tenir au courant des droits de douane automobiles.

Il ne fait aucun doute que les droits de douane de 2025 poseront des défis aux gestionnaires de parcs de véhicules canadiens, mais la première ligne de défense consiste à se tenir au courant. Les gestionnaires de parcs de véhicules canadiens doivent suivre de près les mises à jour du gouvernement du Canada concernant les politiques tarifaires et les contre-mesures potentielles.

De plus, assurez-vous de tirer parti de ressources comme le Centre d’alerte et d’intervention pour les opérations d’Element, consultez régulièrement les nouvelles professionnelles et inscrivez-vous aux alertes des organisations qui surveillent les répercussions sur la chaîne d’approvisionnement. En restant à l’avant-garde des développements, les gestionnaires de parcs de véhicules peuvent adapter leurs stratégies rapidement, réduisant ainsi les conséquences des changements soudains. Pour toute question spécifique, veuillez communiquer avec l’équipe d’experts de confiance d’Element.